une production du Théâtre d’Aujourd’hui et des P’tits Enfants Laliberté
du 23 avril au 31 mai 1981
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RÉSUMÉ
Une chanteuse arrivée au faite de sa gloire et au déclin de sa carrière nous livre ses réflexions sur la musique, les relations amoureuses, sa vie et son métier. Comédie bouffe, pleine de fantaisie, qui emploie plusieurs genres musicaux, de la chanson populaire aux grands airs d'opéra.
texte et mise en scène Jean-Claude Germain interprétation François Dubé, Nicole Leblanc scénographie et éclairages Claude-André Roy costumes Diane Paquet musique Jacques Perron, Gaston Brisson maquillages Marielle Lavoie coiffures Constant Haute CoiffureUne monologuerie bouffe de Jean-Claude Germain
Prima donna, diva new look, sans complexes et sans apprêts, connue et reconnue pour son gout avoué et immodéré des bains de foule et de québécitude qui ont toujours le don de lui « rtendde la peau de fesses », l'inénarrable et increvable Sarah Ménard, identifiée à tout jamais à l'interprétation incomparable de Nicole Leblanc, revient, après le succès qu'elle a connu la saison dernière au Théâtre d'Aujourd'hui et au Théâtre du Nouveau Monde dans Les nuits de l'Indiva, pour raconter à nouveau Les hauts et les bas d'la vie d'une diva : Sarah Ménard par eux-mêmes, son histoire d'une fille d'en bas dla côte, game et wide open. Créée en 1974 au Théâtre d'Aujourd'hui, Les hauts et les bas d'la vie d'une diva a été jouée à deux reprises à guichet fermé et présentée plus de deux cent fois depuis, de LG 3 au Camp musical d'Orford, en passant aussi bien par Hearst, Québec, Gaspé, Washington, Outremont, Vancouver, Toronto ou Tracadie. Perpétuellement entre deux avions, deux boites de nuit, deux amants ou deux idées, Sarah Ménard s'arrêtera sur la scène du Théâtre d'Aujourd'hui, le temps d'un gigantesque court-circuit permanent entre l'opéra, le rock and roll, la musique tzigane, les hommes, le couvent, les relations amoureuses, la ville, la campagne et l'Europe, avant de repartir pour le théâtre d'été du Lac Delage.
« Au lendemain de la première, j'écrivais pour un bon spectacle, c'en est un bon et c'en est même un bon de bon. Après avoir assisté hier soir à la première de la nouvelle série de représentations... je n'ai aucune envie de modifier le jugement fait en 1974. Je serais plutôt enclin à en remettre un tout petit peu. Le texte de Jean-Claude Germain est toujours l'un des meilleurs qu'il ait écrit ... la musique de Perron est toujours extraordinaire ... la mise en scène est toujours très inventive et à peu près sans bavures ... les décors, les costumes et les éclairages sont toujours excellents. Et surtout Nicole Leblanc réussit toujours une performance exceptionnelle. ... Il faut d'ailleurs le voir pour le croire ! »
Martial Dassylva, La Presse
Critiques
Publié le 17/11/74
« Au lendemain de la première, j'écrivais pour un bon spectacle, c'en est un bon et c'en est même un bon de bon. Après avoir assisté hier soir à la première de la nouvelle série de représentations... je n'ai aucune envie de modifier le jugement fait en 1974. Je serais plutôt enclin à en remettre un tout petit peu. Le texte de Jean-Claude Germain est toujours l'un des meilleurs qu'il ait écrit ... la musique de Perron est toujours extraordinaire ... la mise en scène est toujours très inventive et à peu près sans bavures ... les décors, les costumes et les éclairages sont toujours excellents. Et surtout Nicole Leblanc réussit toujours une performance exceptionnelle. ... Il faut d'ailleurs le voir pour le croire ! »
Martial Dassylva, La Presse
Extrait
Publié le 08/10/74Les hauts et les bas d’la vie d’une diva de Jean-Claude Germain
« Tu sé, dans a vie moué, y a rien qui mplaît pluss que de jouer les femmes fragiles... les idiotes époustouflantes... les bibelots de luxe... ça m’détend... Chus ben d’accorre de temps-z-en temps pour ête le repos du guerrier... le banquet du chasseur... le festin du powette... mais à condition que l’service soueille en porcelaine de Chine... Chus faite de même... ça m’a jamais intéressée d’ête la plottée dbines du bûcheron... Chus dans lgenre à la carte... pis j’ai horreur des invités qu’y font pas à différence ente une poule bouillie pis une truite arc-en-ciel flambée au cognac! »
Citation
Publié le 06/01/74Les hauts et les bas d'la vie d'une diva de Jean-Claude Germain
« L'opéra c'est comme la vie, y a pas de plaisir sans trémolos. »
Salomon Mazurette
ARCHIVES
Les hauts et les bas d'la vie d'une diva
saison 74/75
Les hauts et les bas d'la vie d'une diva
saison 75-76
PRODUCTION
une production du Théâtre d’Aujourd’hui et des P’tits Enfants Laliberté